06.4
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ABS Magazine #70 online est paru !

by Fred ·

abs70Au sommaire :

• R.L Griffin : Le King du Blues Palace.
Artiste de soul/blues et patron de club, R.L. Griffin est un personnage emblématique de la ville de Dallas, Texas. Sa prestation lors du Eastside Kings Festival d’Austin en septembre 2019 avec son band a mis tout le monde d’accord : la définition même de la grande classe ! Il était donc indispensable de vous faire mieux connaître ce musicien qui – malgré sa place de « vétéran » – n’est malheureusement pas vraiment connu en Europe. Par Jean-Luc Vabres et Gilbert Guyonnet

• Wild Jimmy Spruill : À la recherche de Wild Jimmy Spruill…
En 1984, grâce à l’album « Wild Jimmy Spruill : The Hard Grind Bluesman 1956-1964 » (Krazy Kat LP KK7429), nous découvrîmes un magnifique guitariste. Ce disque rassemblait quelques-uns des enregistrements personnels de Jimmy Spruill et de ses accompagnements de guitare. Il était temps pour ABS de dresser le portrait de cet obscur artiste dont on peut imaginer qu’il préféra l’anonymat à la gloire : « I don’t want to be a star. Be a star for what ? », dit-il lors d’une interview. Son œuvre personnelle est mince : six 45t entre 1958 et 1964, mais plus de trois mille séances d’enregistrements dans tous les styles de musiques populaires américaines, affirmait-il. Par Gilbert Guyonnet

• Johnny Mars : Blues from Mars !
L’harmoniciste Johnny Mars – qui se fait rare sur scène hors Grande-Bretagne –, jouait à la Southern Blues Night de Heerlen en Hollande le 25 mars 2017 avec un Big Band de plus de 25 musiciens. Ce fut l’occasion d’une rencontre et d’un entretien. En Angleterre – où il s’est installé depuis la fin des années 70 – il est non seulement hyperactif dans des projets pédagogiques avec des adolescents, à base de musique, danse, chant et théâtre, mais il reste aussi un bluesman très populaire avec une activité débordante en clubs et en festivals.. Par Robert Sacré

• Jazz Me Blue. Les chroniques du Confiné Perpétuel : l’immobilité troublée.
Il n’était plus sorti. Un confinement de thérapie. Un repliage de papier mâché… Une gomme végétale pour effacer les zèbrures de la vie du dehors. Tout était venu sans malice, naturel… Depuis la lecture de « La Ballade de Geeshie et Elvie », le reste paraissait futile et vain. En cela, John Jeremiah Sullivan – l’auteur de la nouvelle – avait réussi son coup : une closerie où les arbres prolongeaient l’enceinte murale, où les mots rebondissaient sur les haies pour mieux s’accrocher aux branches, rythmant un blues de début de vingtième. Ne plus penser qu’à Last Kind Word Blues…  Par Stéphane Colin

Et puis… de nombreuses chroniques en fin de magazine avec de belles nouveautés et des rééditions intéressantes, et la chronique du DVD « Bobby Rush Blues Revue » chaudement recommandé.

A découvrir sur www.absmag.fr

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